Sonneberg 2.0 ou lorsque Fred conçoit une structure modulaire géniale

Cette fois c'est parti, l'ami Fred a entamé la construction de son réseau tout en tenant compte d'une contrainte importante, à savoir que ce dernier doit pouvoir être démontable à tout moment en plusieurs éléments peu encombrants et facilement transportables et manipulables, tant pour travailler dessus que pour prévoir un éventuel déménagement ou déplacement dans une autre pièce de la maison.

Le réseau mesurant 3m x 1,20m, Fred a imaginé de le découper en 5 éléments ou modules de 1,20m x 0,60m. Il a donc adapté son tracé initial en veillant à ce que les coupons de voie C s'ajustent parfaitement aux raccords des modules.

Heureusement le choix de rails est vaste chez Märklin et cela ne posa pas de problème majeur pour trouver "les coupons qui vont bien" !

Restait le choix délicat du support... construction classique en caissons ? Modules en kit ? 

Fred n'était pas très chaud car non seulement cela prend du temps à réaliser, c'est généralement lourd et en plus générateur de pas mal de poussière et demande un fameux travail de menuiserie. Il fallait plus simple, plus rapide à mettre en oeuvre, bon marché et esthétique à la fois... bref le mouton à cinq pattes !

C'est en cherchant sur le net que la solution est apparue sous la forme de tables légères en kit, du genre de celles que beaucoup d'étudiants connaissent dans leur kot et que l'on peut trouver sur Amamachin ou à la Forfouille pour des prix très abordables.

Le hasard faisant bien les choses, ces petites tables (constituées d'une structure métallique vissée sur un plan de travail en stratifié) existent justement en 1,20m x 0,60m et en divers coloris. Bref, quelques clics et quelques jours plus tard, ce sont cinq de ces tables à monter qui arrivèrent chez Fred.

Le montage est très rapide et le résultat excellent, à la fois léger, rigide et stable.

Autre avantage et non des moindres, les pieds sont réglables en hauteur pour un ajustement parfait de niveau entre elles.

Avant de positionner ses 5 tables, Fred a posé son fond de décor au mur avec l'aide de Madame. Les éléments de ce fond de décor d'origine Auhagen sont tout simplement fixés au mur par des morceaux d'adhésif double-face dans les coins.

Rapide mise en place des tables ensuite et deux petites photos de mise en situation pour se rendre compte que ça va le faire, ce fond de décor est vraiment très beau.

Poursuite des travaux avec la mise en place d'une couche de liège autocollant de 5mm d'épaisseur trouvé en plaques de 30cm x 30cm au bricomachin du coin. Il en faut 8 par table, soit 40 en tout.

Cette couche servira d'isolant acoustique et constituera un excellent support pour le collage des éléments de décor.

Et voilà, vient enfin le moment tant attendu de la pose des voies.

Je précise que ce montage est provisoire et ce sujet fera l'objet de plusieurs articles futurs.

Évidemment, Fred n'a pas résisté au plaisir de nous faire deux petites vidéos histoire de nous mettre en appétit.

A suivre...

La V 160 de la DB Märklin réf. 3675 digital

Hello tout le monde, 

J'ai décidé de vous présenter aujourd'hui un grand classique de la DB, à savoir la mythique locomotive diesel de type V 160.

Le modèle réel :

Le premier V 160 (prototype) a été construit par la société Krupp et déployé à la DB en 1960. Il avait le numéro d'utilisateur V 160 001 et disposait d'une nouvelle conception pour l'époque. Sur cette base sera ensuite développée la série de locomotives (V 160 002 t/m 009) avec une face frontale de type « Lollo ». En 1963, le premier V 160 (V 160 010) fut construit sur l'autre front et avec un nouveau design. Ces machines furent retirées en 1968 suite au développement de la locomotive V 160 (V 160 011-224). Les locomotives avaient une vitesse de pointe de 120 km/h.

Le modèle réduit :

Le modèle représente la locomotive V 160 010. Il s'agit ici d'une vieille dame produite par Märklin en 1993 équipée toutefois d'origine d'un décodeur digital de type Delta. Elle dispose de la fonction d'éclairage réversible des feux blancs. Les feux rouges ne sont pas fonctionnels. Malgré son grand âge, ce modèle possède un très beau niveau de finition et c'est bien entendu un modèle entièrement métallique.

Je vous laisse l'admirer.

Et en bonus, deux petites vidéos.

Éclairage des bâtiments

Hello tout le monde. 

Reprise des travaux sur le réseau avec l'installation et le câblage de tous les éclairages de bâtiments !

Trois borniers distributeurs (un par secteur) ont été placés sous le réseau et permettront également l'éclairage des rues et quais au moyen de réverbères et lampadaires, tout a été directement prévu.

Remise en ordre des spaghettis sous le réseau ...

Quelques photos de détails du résultat 

Bien qu'étant satisfait de l'ensemble, je trouvais toutefois que l'éclairage était un peu trop froid, donc j'ai effectué quelques modifications. Changement de l'ampoule LED du magasin de modélisme et remplacement de toutes les ampoules LEd froides par des chaudes afin de mieux voir les nuances d'éclairage et de couleurs de rideaux et d'ambiance à l'intérieur des bâtiments...

Voyez la différence, c'est nettement mieux ainsi !

Prochaine étape,  installation des réverbères et lampadaires de rue.

Hofheim de Fred Glmt : partie 12

Réalisation et patine de l'église de Sonneberg

Cette fois c'est à une église que l'ami Fred s'est attaqué et comme toujours, le résultat est superbe, surtout avec les travaux importants de patine effectués.

C'est un kit Kibri qui a servi de base. 

Pour commencer, Fred a d'abord passé un jus blanc mat sur tous les murs. Les pierres de tours de fenêtres et d'angles ont également été traitées au moyen de jus blancs et noirs principalement.

Viennent ensuite les fastidieuses opérations de masquage interne (rien de prévu d'origine) et la réalisation maison de vitraux.

Rien n'étant prévu pour la fenêtre supérieure de la tour du clocher, Fred a bricolé une grille au moyen de chutes trouvées dans sa boîte à brol.

Une fois tous les murs préparés,  le socle reçoit un revêtement imitation dalles de pierres du plus bel effet et l'assemblage proprement dit peut enfin commencer.

Le travail se poursuit ensuite avec la patine des toitures et du clocher.

Ces éléments sont ensuite positionnés en place.

Et enfin, dernier travail, la réalisation du muret qui entoure l'église.

Je vous laisse admirer le résultat final, encore du grand Mendès !